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Cours d'eau principal du Maroni délimité par les berges Françaises et Surinamaises, sans prise en compte des îlets puisque cartographiés dans une couche à part. Les référentiels hydrographiques étant insuffisants pour une bonne appréhension de l'armature urbaine et villageoise du Maroni, l'AUDeG à digitalisé à partir de la BD Ortho IGN 2005/2006 et de la mosaïque Spot 5 IGN 2007/2008 à 2,5 m sur les zones non couverte par ce 1er référentiel, l'emprise du cours d'eau principal du fleuve Maroni.
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Base de donnée toponymique des cours d'eau du territoire du PAG. Certaines corrections de la géométrie sont aussi contenues dans ce shape
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Le réseau hydrographique contient les principales rivières et criques visibles au 500ème.
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Zone inondable au bourg de Camopi et aux villages Zidock & Trois Saut (05/2014) définie dans le cadre de l'étude "Diagnostic territorial de la commune de Camopi (mai 2014)". La limite a été établie grâce aux informations du niveau maximal des eaux des 10 dernières années fournies par les habitants. Ces témoignages (ponctuels) ont permis d'identifier une côte de référence qui a ensuite servit à identifier la zone inondable grâce au levé LIDAR réalisé par Atloa en 2012 pour le compte de la commune.
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La masse d'eau est le découpage territorial élémentaire des milieux aquatiques destinée à être l'unité d'évaluation de la Directive Cadre sur l'Eau. Une masse d'eau de rivière est une partie distincte et significative des eaux de surface telles qu'une rivière, un fleuve ou un canal, une partie de rivière, de fleuve ou de canal, Le jeu de données de 2013 constitue le référentiel 2016 provisoire pour l'application de la DCE. La topologie des objets a été reprise et les tronçons virtuels des masses d'eau de transition et plans d'eau ont été ajoutés.
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Réseau de stations de mesure au droit desquelles sont relevées les hauteurs d'eau et où sont calculés les débits. Les données descriptives de la station hydrométrique relèvent de la responsabilité de leur gestionnaire. Il est distingué les stations encore en service et celles qui ont été abandonnées.
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La couche "trait de côte" est une adaptation de la couche "laisse des eaux" de la BD Carthage nationale. Compte des spécificités de la dynamique du littoral guyanais, il n'est pas possible de constituer une laisse des plus haute eaux. Le trait de côte correspond pour sa plus grande partie à la limite des altitudes 0 du modèle numérique d'élévation du SRTM. Les estuaires sont fermés par une ligne arbitraire.
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Un Réservoir Biologique, qu'il s'agisse d'un cours d'eau, d'un tronçon de cours d'eau ou d'une annexe hydraulique, est un secteur jouant le rôle de pépinière, de « fournisseur » d'espèces susceptibles de coloniser une zone appauvrie du fait d'aménagements et d'usages divers. L'article R. 214-108 définit ainsi les Réservoirs Biologiques comme « les cours d'eau, parties de cours d'eau ou canaux qui jouent le rôle de réservoir biologique au sens du 1° du I de l'article L. 214-17 sont ceux qui comprennent une ou plusieurs zones de reproduction ou d'habitat des espèces de phytoplanctons, de macrophytes et de phytobenthos, de faune benthique invertébrée ou d'ichtyofaune, et permettent leur répartition dans un ou plusieurs cours d'eau du bassin versant ». Le texte réglementaire fondateur du Réservoir Biologique est l'arrêté approuvant le SDAGE. Le préfet coordonnateur de bassin arrête ainsi la liste des Réservoirs Biologiques.
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Définition Sandre : "Le découpage hydrographique est l'ensemble des quatre partitions hiérarchisées du territoire français réalisé selon des aires hydrographiques décroissantes : - région hydrographique (1er ordre), - secteur hydrographique (2ème ordre), - sous-secteur hydrographique (3ème ordre), - zone hydrographique (4ème ordre). Un secteur est découpé suivant un maximum de 10 sous-secteurs et un sous-secteur est découpé suivant un maximum de 10 zones hydrographiques." Le nombre de régions hydrographiques a été fixé à 5 pour la Guyane selon les règles de codification du SANDRE arrêtée en 2004. La détermination de leurs limites est sous la responsabilité de la DIREN Guyane.
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Une masse d'eau souterraine est un volume distinct d'eau souterraine à l'intérieur d'un ou de plusieurs aquifères. Les masses d'eau souterraine sont dérivées de travaux réalisés sur le référentiel BDRHF v1. Le découpage retenu pour les masses d'eau répond aux quelques grands principes exposés ci après : - Les masses d'eau sont délimitées sur la base de critères géologiques et hydrogéologiques, - Le redécoupage des masses d'eau pour tenir compte des effets des pressions anthropiques doit rester limité. - Les limites des masses d'eau doivent être stables et durables - A l'image des masses d'eau superficielle, la délimitation des masses d'eau souterraine est organisée à partir d'une typologie. Cette typologie s'inspire largement de celle élaborée pour les entités hydrogéologiques définies dans le cadre de la révision de la BD RHF. Elle est basée sur la nature géologique et le comportement hydrodynamique ou fonctionnement « en grand » des systèmes aquifères (nature, vitesse des écoulements). Elle comprend 2 niveaux de caractéristiques (principales et secondaires). - Les masses d'eau peuvent avoir des échanges entre elles - Tous les captages fournissant plus de 10m3/jour d'eau potable ou utilisés pour l'alimentation en eau de plus de 50 personnes doivent être inclus dans une masse d'eau - Les eaux souterraines profondes, sans lien avec les cours d'eau et les écosystèmes de surface, dans lesquelles il ne s'effectue aucun prélèvement et qui se sont pas susceptibles d'être utilisées pour l'eau potable en raison de leur qualité (salinité, température?), ou pour des motifs technico-économiques (coût du captage disproportionné) peuvent ne pas constituer des masses d'eau. - Compte tenu de sa taille, une masse d'eau pourra présenter une certaine hétérogénéité spatiale tant au niveau de ses caractéristiques hydrogéologiques que de son état qualitatif et quantitatif. - En un point quelconque plusieurs masses d'eau peuvent se superposer. (source : BRGM, MISE EN OEUVRE DE LA DCE : IDENTIFICATION ET DELIMITATION DES MASSES D'EAU SOUTERRAINE - guide méthodologique, Janvier 2003)