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Le découpage hydrographique est l'ensemble des quatre partitions hiérarchisées du territoire français réalisé selon des aires hydrographiques décroissantes : - région hydrographique (1er ordre), - secteur hydrographique (2ème ordre), - sous-secteur hydrographique (3ème ordre), - zone hydrographique (4ème ordre). Une région hydrographique est découpée suivant un maximum de 10 secteurs, et un secteur est découpé suivant un maximum de 10 sous-secteurs.
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Cet arrêté est applicable au prélèvement de poissons et aux moyens de pêche utilisés sur le lac de barrage de Petit-Saut. Le périmètre d'application du présent arrêté couvre l’ensemble du plan d'eau du barrage de Petit Saut, sur le territoire des communes de Saint Élie et Sinnamary, Arrêté préfectoral n°R03-2017-02-15-004 du 15 février 2017 Cet arrêté est pris pour une durée de 3 ans. Au terme de cette date il sera rendu définitif après avis d’un comité de suivi.
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La couche "trait de côte" est une adaptation de la couche "laisse des eaux" de la BD Carthage nationale. Compte des spécificités de la dynamique du littoral guyanais, il n'est pas possible de constituer une laisse des plus haute eaux. Le trait de côte correspond pour sa plus grande partie à la limite des altitudes 0 du modèle numérique d'élévation du SRTM. Les estuaires sont fermés par une ligne arbitraire.
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A partir de l'étude "analyse des crues du Maroni 2006 et 2008 (DDE, Ginger 2009)" faisant état des points des plus hautes eaux (PHE) relevées pendant les crues du Maroni de 2006 et 2008 et de levés topographiques lasers récents, nous avons procédé au report des laisses de crues sur les bourgs et principaux écarts du Maroni. Des investigations terrains ont parfois été effectuées également. Ces travaux ont été réalisés dans le cadre des réflexions pour l'élaboration des documents d'urbanisme des communes concernées, à savoir Maripasoula, Papaïchton, Grand-Santi, Apatou et Saint-Laurent du Maroni. Attention, les dates des PHE sont variables selon les sites. Les bourgs et villages concernés sont : - commune de Maripasoula : le centre-bourg et les villages New Wacapou, Elaé, Kayodé, Twenké, Taluen et Antecume Pata ; - commune de Papaïchton : le centre-bourg et les villages de Loka et Boniville ; - commune de Grand-Santi : le centre-bourg et les villages Grand Sitron, Martin, Amaidou, Pascal Kondé, Kassabaini, Ana Kondé, Monfina, Apagui ; - commune d’Apatou : le centre bourg et les villages Providence, Koffi, Elisabeth, Akuba Pata, Anapaye Kampoe, Akodo, Sania, Tumalisi, Ayamide, Kodio, Ponta 3, Adoyé, Ponta 2, Ponta 1, Petite Patience, Patience, Kwaliondo 2, New Kampoe, La Forestière, Anaolondo et Coco ; - commune de Saint-Laurent du Maroni : le village de Sparouine. A noter que cette cartographie du risque inondation proposée ne se veut exhaustive compte tenu de la méconnaissance des fréquences de crues du Maroni et des possibles modifications climatiques pouvant subvenir dans les prochaines décennies.
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Base de donnée toponymique des cours d'eau du territoire du PAG. Certaines corrections de la géométrie sont aussi contenues dans ce shape
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Objectif imposé par la directive cadre sur l'eau (DCE). Cette dernière fixe quatre objectifs environnementaux majeurs que sont : la non-détérioration des masses d'eau , l'atteinte du « bon état * » ou du « bon potentiel » des masses d'eau d'ici 2021 ou 2027 selon les masses d’eau, la réduction ou la suppression de la pollution par les « substances prioritaires », et le respect de toutes les normes dans les zones protégées . Les objectifs assignés aux masses d'eau et les objectifs de réduction ou de suppression des substances prioritaires sont inscrits dans les schémas directeurs d'aménagement et de gestion des eaux * (SDAGE).
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Le découpage hydrographique est l'ensemble des quatre partitions hiérarchisées du territoire français réalisé selon des aires hydrographiques décroissantes : - région hydrographique (1er ordre), - secteur hydrographique (2ème ordre), - sous-secteur hydrographique (3ème ordre), - zone hydrographique (4ème ordre). Un secteur est découpé suivant un maximum de 10 sous-secteurs et un sous-secteur est découpé suivant un maximum de 10 zones hydrographiques.
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Le réseau hydrographique contient les principales rivières et criques visibles au 500ème.
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Un Réservoir Biologique, qu'il s'agisse d'un cours d'eau, d'un tronçon de cours d'eau ou d'une annexe hydraulique, est un secteur jouant le rôle de pépinière, de « fournisseur » d'espèces susceptibles de coloniser une zone appauvrie du fait d'aménagements et d'usages divers. L'article R. 214-108 définit ainsi les Réservoirs Biologiques comme « les cours d'eau, parties de cours d'eau ou canaux qui jouent le rôle de réservoir biologique au sens du 1° du I de l'article L. 214-17 sont ceux qui comprennent une ou plusieurs zones de reproduction ou d'habitat des espèces de phytoplanctons, de macrophytes et de phytobenthos, de faune benthique invertébrée ou d'ichtyofaune, et permettent leur répartition dans un ou plusieurs cours d'eau du bassin versant ». Le texte réglementaire fondateur du Réservoir Biologique est l'arrêté approuvant le SDAGE. Le préfet coordonnateur de bassin arrête ainsi la liste des Réservoirs Biologiques.
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Une masse d'eau souterraine est un volume distinct d'eau souterraine à l'intérieur d'un ou de plusieurs aquifères. Les masses d'eau souterraine sont dérivées de travaux réalisés sur le référentiel BDRHF v1. Le découpage retenu pour les masses d'eau répond aux quelques grands principes exposés ci après : - Les masses d'eau sont délimitées sur la base de critères géologiques et hydrogéologiques, - Le redécoupage des masses d'eau pour tenir compte des effets des pressions anthropiques doit rester limité. - Les limites des masses d'eau doivent être stables et durables - A l'image des masses d'eau superficielle, la délimitation des masses d'eau souterraine est organisée à partir d'une typologie. Cette typologie s'inspire largement de celle élaborée pour les entités hydrogéologiques définies dans le cadre de la révision de la BD RHF. Elle est basée sur la nature géologique et le comportement hydrodynamique ou fonctionnement « en grand » des systèmes aquifères (nature, vitesse des écoulements). Elle comprend 2 niveaux de caractéristiques (principales et secondaires). - Les masses d'eau peuvent avoir des échanges entre elles - Tous les captages fournissant plus de 10m3/jour d'eau potable ou utilisés pour l'alimentation en eau de plus de 50 personnes doivent être inclus dans une masse d'eau - Les eaux souterraines profondes, sans lien avec les cours d'eau et les écosystèmes de surface, dans lesquelles il ne s'effectue aucun prélèvement et qui se sont pas susceptibles d'être utilisées pour l'eau potable en raison de leur qualité (salinité, température?), ou pour des motifs technico-économiques (coût du captage disproportionné) peuvent ne pas constituer des masses d'eau. - Compte tenu de sa taille, une masse d'eau pourra présenter une certaine hétérogénéité spatiale tant au niveau de ses caractéristiques hydrogéologiques que de son état qualitatif et quantitatif. - En un point quelconque plusieurs masses d'eau peuvent se superposer. (source : BRGM, MISE EN OEUVRE DE LA DCE : IDENTIFICATION ET DELIMITATION DES MASSES D'EAU SOUTERRAINE - guide méthodologique, Janvier 2003)